Catégorie : Amérique du Sud

  • Jamais plus de peine ni d’oubli de Osvaldo Soriano

    Présentation de l’éditeur Entre 1973 et 1974, dans une minable bourgade proche de Buenos Aires, des rumeurs d’infiltration marxiste sèment la zizanie chez les petits chefs péronistes. Cela tourne au western absurde, les fantoches de Soriano ne mégotant ni sur la bouteille ni sur le choix des armes (dynamite, camionnette, bulldozer, épandage de matière fécale…)…

  • La passagère de Perla Suez

    Quatrième de couverture Dans la grande maison où l’amiral vient de mourir, le silence est tombé, lourd, pesant, comme l’atmosphère de ces années de dictature militaire en Argentine. Pour Tánsito, la vieille bonne, au service depuis toujours de cette classe dominante complice de la terreur, l’heure des comptes a sonné. Tout paraît en ordre, mais…

  • La Vierge des Tueurs de Fernando Vallejo

    Quatrième de couverture « … Dieu est le diable. Les deux sont un, la thèse est son antithèse. Bien sûr que Dieu existe, partout je trouve des signes de sa méchanceté. Devant le Salón Versalles qui est une cafétéria, il y avait l’autre soir un gamin en train de renifler du sacol, une colle de cordonnier…

  • Bonsái de Alejandro Zambra

    Quatrième de couverture Julio rencontre un vieil écrivain qui cherche un assistant pour dactylographier son dernier roman, mais il n’est pas retenu. Pour donner le change à María, sa maîtresse occasionnelle, il décide d’écrire un manuscrit qu’il fait passer auprès d’elle pour celui du romancier. Il s’inspire de son histoire d’amour passionnelle avec Emilia, huit…

  • Tombé en disgrâce de Mauricio Hasbún

    Quatrième de couverture Lorsqu’un jeune journaliste un peu veule et pusillanime est engagé par un magnat de la presse économique, obscur complice de la dictature de son pays, son chemin semble tout tracé. Mais ce fataliste d’origine arménienne – passionné d’Aznavour (qui a  » une chanson pour chacun de ses instants de tristesse « ) et…

  • Yawar Fiesta (La fête du sang) de José María Arguedas

    Présentation de l’éditeur Les Andes, dans les années 30. Pour la fête nationale, sur la place du village, les Indiens des communautés de Puquio affrontent un taureau, à la dynamite, et se font la plupart du temps encorner. Cette année-là, un préfet « progressiste » décide que la corrida sera moderne, à l’espagnole, avec un torero venu…

  • Diamants et silex de José María Arguedas

    Quatrième de couverture « Au bord des déserts éblouissants de neige », les villageois parlent aux oiseaux comme aux plantes avec une troublante intensité et les Indiens se signent lorsque se manifeste l’indicible. Au cœur de la lointaine Cordillère des Andes, les rites et les sortilèges maintiennent naturellement un ordre qui ne peut être qu’être extrême. Le…

  • Ce lieu sans limite de José Donoso

    Quatrième de couverture Petite Japonaise, outre une part de son nom, hérita en son temps de sa mère un bordel, un travesti de père et une vie de misère. C’est un lupanar pour les pauvres, avec phono à aiguille – quelques pas de cha-cha-cha – et bagarres parfois. Quant au seul riche de ce hameau…

  • Tigres de papier de Rubén Sosa

    Présentation de l’éditeur Un Argentin qui a fui la dictature s’est réfugié en Italie. Mais la violence froide et implacable de son passé va le rattraper. Sa route va croiser par accident celle de deux tueurs fous. Un polar en clair-obscur fantastique porté par une sombre réflexion sur la vie, l’amour et la mort. Le…

  • Trois de Roberto Bolaño

    Quatrième de couverture Regroupant, par ordre chronologique, trois recueils de textes qui se situent à la frontière des genres littéraires, Trois révèle des aspects moins connus de l’univers de Roberto Bolaño et jette une lumière parfois surprenante sur son œuvre narrative. Daté de 1981, Prose de l’automne à Gérone offre une série de fragments kaléidoscopiques…

  • Un petit roman lumpen de Roberto Bolaño

    C’est le premier roman que je lis de Roberto Bolaño et pourtant, il s’agit ici du dernier roman publié du vivant de l’auteur. J’ai choisi ce livre, sûrement peu représentatif du style de Bolaño (c’est ce que j’ai cru comprendre de ce que j’ai lu), en me disant que cela pouvait être un bon moyen…

  • Borges et les orangs-outangs éternels de Luis Fernando Verissimo

    Quatrième de couverture ‘Vogelstein, célibataire, la cinquantaine, vit à Porto Alegre en compagnie de ses livres et de son chat, Aleph. L’invitation de la Société Israfel à participer à un congrès sur Edgar Allan Poe est pour lui l’occasion inespérée de se rendre à Buenos Aires et de réaliser le rêve de sa vie :…