Quatrième de couverture
A corpse in a sarcophagus, a headless macaw, and a stolen slice of Black Forest gateau alert Sherlock Holmes to a macabre international crime in progress, and lead him through London’s backstreets to the gloomy moors of Cornwall. People vanish, Greek statues vanish. Even Holmes vanishes – to the distress of his companion, James Wilson, whose emails and text messages go unanswered. But Holmes is in top form, fully recovered from his journey through ice to the twenty-first century and ready to reveal a multitude of secrets . . .
Mon avis
Je ne sais pas si vous vous rappelez mais j’avais lu les deux premiers tomes de cette série, mettant un Sherlock Holmes ressuscité par la médecine moderne et accompagné d’un James Wilson, ressemblant étrangement à notre Watson, ainsi que par un descendant de notre Lestrade.
J’avais adoré les deux premiers tomes mais celui-ci a été une déception. L’histoire a quelques similitudes avec le Chien des Baskerville et donc on ne voit pratiquement pas Holmes de tout le livre (alors que dans le cas précis de cette série, c’est lui qui en fait l’intérêt).
L’auteur multiplie les « mystères ». Il y a deux défauts à cela : il y en a qui en sont des faux, d’autres qui sont enfantins (le passage secret qui mène d’un endroit à un autre d’un paysage et qui est utilisé par les méchants a déjà été fait dans un club des cinq) ; on ne sait plus quel est le mystère principal. En tout cas, je croyais que le livre se finissait car ils avaient résolu ce qui pour moi était important mais en fait non, il restait quelques questions annexes. Cela m’a donné l’impression d’un livre qui s’étirait en longueur inutilement.
Cela fait un mois et demi que j’ai lu ce livre et c’est les seules choses qu’il me reste (j’ai fait le billet car j’aime bien ne pas avoir de trous de billets dans les séries). L’histoire ne m’a pas convaincu, la narration non plus : j’espère que Barry Grant va se reprendre dans le quatrième tome !
Références
Sherlock Holmes and the Swedish Enigma de Barry GRANT (Severn House, 2012)
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