Quatrième de couverture
Une jeune fille belle et séduisante hérite de son oncle à la seule condition qu’elle épouse le fils adoptif de celui-ci. Elle s’y résigne, poussée par son tuteur en qui elle a une entière confiance. Son mariage se solde par un échec, son mari, loin de lui laisser jouir de la fortune héritée, la prive de toute ressource. Une secret lie son mari à l’ex-tuteur de sa femme et pèse de façon durable sur leur vie.
Mais, bien évidemment, comme à l’instar de nombre des histoires que raconte l’auteur, les protagonistes portent des masques et l’infâme n’est pas toujours qui l’on croit.
Mon avis
Il fait beaucoup trop chaud pour faire de long avis. C’est la première nouvelle de Mary Elizabeth Braddon que je lis après trois romans. Autant dans les romans, je suis d’accord que l’ambiance est primordiale, l’intrigue est secondaire puisque les livres de Mary Elizabeth Braddon ne sont pas vraiment supposés être des livres à suspens. Mais pour des nouvelles, c’est l’intrigue qui est primordiale ! Le fait de faire dire, comme à un enfant, au milieu des 80 pages, à une personne que l’on suspecte déjà fortement d’avoir mal agit, « imagine, si quelqu’un de proche toi avait fait tels choses, est-ce que tu trouverais ça grave » gâche un peu tout (et pourtant c’était plutôt bien parti). L’ambiance y est. Mais là c’est une nouvelle tout de même !
Pour le coup, c’est vraiment une lecture détente pour passer un bon moment mais à mon avis on l’oublie plus vite que les romans du même auteure.
Livre lu dans le cadre du challenge Mary Elizabeth Braddon de Lou et du challenge English Classics de Karine:)
Un autre avis
Celui de Loula.
Références
L’aveu de Mary Elizabeth BRADDON – traduction de l’anglais revue et corrigée par Madeleine Jodel (Éditions Joelle Losfeld, 2002)
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