Présentation de l’éditeur (désolée mais je ne suis pas traductrice)
A mixing of genres in the most epic of fashions – Sherlock Holmes and Dr. Watson battle a zombie outbreak that threatens to overwhelm London ! In 1854, a meteor streaked across London’s skies, bringing with a zombie plague. For twenty years, Her Majesty’s Secret Service kept the treeat under control. But now a dastardly fiend has begun using the zombies in an attempt to overthrow the Victorian Government. Holmes and Watson must face off against their favorite foe, MI-5 AND zombies at the same time.
Mon avis
Là encore, j’ai commandé ce comics sur Amazon dans un moment de désespoir holmésien (il coute pas trop cher celui-là donc c’est moins grave) et surtout c’était dans le but de faire une étude comparée entre les vampires et les zombies (et puis je trouve la couverture trop classe). J’avoue que j’ai quand même été plus séduite par les vampires que par les zombies.
Il y a donc une météorite qui passe dans le ciel de Londres. Après, les zombies débarquent. Enfin pas exactement d’après ce que j’ai compris (parce qu’au niveau de l’anglais c’était un peu plus compliqué que la bd précédente). Après cette comète, quand quelqu’un meurt, il se réveille pour devenir un zombie. Du coup de 1854 à 1898, cela fait quand même pas mal de monde (d’un autre côté, je n’ai pas vraiment compris si c’était tous les morts). En plus, quelqu’un de maléfique à mis la main sur cette petite armée (si j’ai bien compris c’est Moriarty qui est devenu zombie après les chutes de Reichenbach). Du coup, les zombies veulent prendre le contrôle de Londres. Le MI-5 prend la menace très au sérieux mais pense s’en sortir seul. Que nenni ! Sherlock Holmes et Watson vont intervenir (même si ils le font contre l’avis de Mycroft). Sherlock Holmes ira même jusqu’à proposer la destruction de Londres (rien que ça), Mycroft hésitera (on le comprend un peu) mais se rangera à l’avis de son frère. Depuis lors, il n’y a plus de zombie à Londres. Vous pouvez donc y aller tranquille (me dit dans l’oreillette l’office du tourisme de Londres).
Je ne suis ni vampires, ni zombies donc j’étais surtout curieuse sur ce coup là. J’ai lu tout cela de mes deux yeux : un à moitié endormi et un complètement dubitatif. Les dessins m’ont convaincu (même si Sherlock Holmes n’est pas sous les traits de Jeremy Brett). Le graphisme et les couleurs restent celui des comics anglo-saxons que j’ai déjà pu lire (un côté irréel et factice renforcé par le type de papier) mais alors l’histoire ! Ian Edginton (c’est le même qui fait les adaptations chez Akileos) a du beaucoup beaucoup prendre de substances illicites pour pondre ça (voir le résumé ci-dessus).
Je suis contente d’avoir lu ce livre car comme ça, je sais la différence entre les vampires et les zombies. Visiblement, Holmes a moins de mal avec les premiers qu’avec les seconds !
Références
Victorian Undead : Sherlock Holmes vs Zombies de Edginton (scénario) et Fabbri (dessins) (Wildstorm, 2010)
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