Quatrième de couverture
Qui est l’agresseur de la belle Mathilde Stangerson ? Et surtout, comment a-t-il pu s’échapper de la chambre jaune. Qui était fermé de l’intérieur ? Le jeune reporter Rouletabille va douber les plus fins limiers en résolvant cette énigme… Avant de se lancer sur la piste du parfum de la dame en noi.
Les deux plus célèbres aventures de Rouletabille en bande dessinée : Le mystère de la chambre jaune et le parfum de la dame en noir, étaient devenues introuvables. Les voici enfin rééditées dans une nouvelle édition qui prolonge le suspense avec des énigmes inédites de Swysen et Duchâteau.
Mon avis
Je suis retombée en enfance quand j’ai lu cet album. J’avais adoré Le mystère de la chambre jaune quand j’étais au collège et là j’ai retrouvé ce plaisir en ouvrant cette bande dessinée (je me demande d’ailleurs pourquoi je n’avais pas lu le Parfum de la dame en noir). Ici, le livre est très bien adapté et permet de bien visualiser les scènes du roman (si on en a besoin bien sûr). Pour ce qui est de la présentation de l’album, des dessins, des couleurs, des bulles (qui peuvent être très nombreuses sur une même page), j’ai trouvé que ça ressemblait à du Tintin (comme quoi les classiques, ça marche toujours).
À la fin de l’album, il y a un dossier intéressant sur la manière dont on travaillé les deux auteurs, une première version de planche, la mise en scénario mais surtout des énigmes de Marc et Sylvie (qui paraissaient dans Télé 7 jeux et étaient fabriquées par les deux mêmes auteurs ; je fais ma savante mais je ne savais pas avant). Comme il est indiqué dans la quatrième de couverture, c’est la réédition de deux albums qui étaient parus en 1990 et en 1991. Il y a eu trois autres après !
En conclusion, c’est bien de redevenir petite de temps en temps.
Références
Rouletabille (le mystère de la chambre jaune et le parfum de la dame en noir) de Gaston Leroux, André-Paul Duchâteau (scénario) et Bernard Swysen (dessins) (Emmanuel Proust Éditions, 2008)
P.S. Je n’avais jamais vu Gaston Leroux. C’est pour ça que je l’ai mis ici : au cas où vous le rencontriez dans la rue … on ne sait jamais !
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